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Bonjour, L'autre jour, je suis passée un peu par hasard à Jaca, ville de la…
http://www.latelierdescouleurs.net/article-promenade-en-aragon-jaca-125084419.html
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Bonjour,
L'autre jour, je suis passée un peu par hasard à Jaca, ville de la communauté autonome de l'Aragon, au nord de l'Espagne. Située à une altitude de 820 m, en-dessous de la station de Candanchu, c'est un important centre touristique et de sports d'hiver des Pyrénées, situé au sud du col du Somport.
Pour moi, Jaca était une ville frontière sans grand intérêt. J'ai découvert une ville pleine de charme et chargée d'histoire. Sur le chemin de Saint-Jacques, elle a été capitale du royaume d'Aragon de 1035 à 1096.
La ville s'étend au pied du Mont Oroel (1770 m), montagne sacrée du Vieil Aragon, qui porte le nom d'une figure légendaire de la résistance aux musulmans.
La peña Oroel
Du mont Oroel, on a une vie magnifique sur la chaîne des Pyrénées qui surplombe Jaca.
Quand on arrive dans cette petite ville, la première chose que l'on voit c'est la citadelle (Ciudadela), appelée aussi château de San Pedro.
Elle fut construite entre 1592 et la fin du XVIIe siècle sur ordre de Philippe II pour défendre la ville après l'invasion de la vallée de Tena par les troupes provenant du sud de la France en janvier 1592. La conception de cette forteresse fut confiée à l'architecte militaire italien Tiburcio Spanochi. En forme de pentagone, elle est dotée de murs épais en pierre, légèrement inclinés, renforcés par un bastion à chaque angle et entourée d'un fossé.
A l'intérieur, autour de la grande cour centrale, s'alignent les bâtiments ainsi que la chapelle militaire construite dans la seconde moitié du XVIIe siècle.
Le deuxième monument de la ville qu'on ne peut manquer de voir est l'imposante cathédrale San Pedro de Jaca.
C'est l'une des plus anciennes cathédrales d'architecture romane en Espagne. Sa construction débuta dès 1071, à l'initiative du roi Sancho Ramirez d'Aragon.
Je vous laisse y pénétrer.
Pour en ressortir et faire un petit tour dans les rues de la ville où les coquilles semées entre les pavés rappellent qu'on est sur le chemin de Saint-Jacques.
Vous pourrez admirer de nombreuses chapelles, la mairie, édifice de la Renaissance, érigée en 1544 pour y accueillir le Conseil municipal...
ou encore la tour de l'horloge (Torre del Reloj ou Torre de la Cárcel), magnifique tour gothique dotée de 4 étages et d'une cave voûtée qui fut construite au XVe siècle...
Vous pouvez aussi aller prendre un verre et vous restaurer dans l'un des innombrables bars à tapas du centre-ville avant d'aller faire un tour dans les pâtisseries-confiseries qui regorgent de petits gâteaux et autres tourons à l'approche des fêtes.
A consommer avec modération...
A bientôt!
Patatas a la riojana - Pommes de terre au chorizo
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Bonjour, Le soleil s'est caché aujourd'hui et même si les températures sont…
Bonjour,
Le soleil s'est caché aujourd'hui et même si les températures sont restées douces, j'avais envie d'un plat réconfortant, un de ceux que l'on mange au coin du feu dans une auberge à la campagne. J'ai choisi une recette espagnole, celle des patatas a la riojana ou pommes de terre au chorizo. Comme son nom l'indique, c'est un plat typique de la région de la Rioja, communauté autonome du nord de l'Espagne, connue pour ses vins rouges.
Je vous en donne tout de suite la recette (en images!).
Patatas a la riojana
Pour 4 personnes :
3 gousses d'ail
1 gros oignon finement ciselé
1 à 2 poivrons verts (du type corne de bœuf) finement ciselés
1 feuille de laurier
200 g de chorizo à cuire (ibérico si possible)
1 à 2 cuillerées à café de pimentón
1 grosse tomate mûre râpée
6 grosses pommes de terre (j'ai choisi des Bintje) épluchées et lavées
Bouillon
Huile d'olive
Sel
Hacher l'ail et le mettre dans une cocotte. Recouvrir d'une cuillerée à soupe d'huile d'olive. Mettre à chauffer. Dès que l'huile grésille, ajouter l'oignon et les piments finement ciselés. Saler légèrement.
Ajouter la feuille de laurier. Bien remuer et laisser cuire à feu doux en remuant de temps en temps jusqu'à ce que l'oignon devienne transparent.
Ajouter alors le chorizo coupé en rondelles d'un centimètre d'épaisseur.
Faire revenir à feu plus vif jusqu'à ce que le chorizo soit bien saisi.
Ajouter alors la tomate râpée (à la grosse râpe),
puis le pimentón (doux ou piquant, selon votre goût).
Remuer puis couper les pommes de terre de la façon suivante : introduire la pointe du couteau dans chaque pomme de terre et ensuite la couper en gros cubes avec les mains. Les cubes ne seront pas réguliers mais l'amidon sortira mieux et permettra d'épaissir la sauce et de la rendre plus onctueuse.
Remuer bien et laisser revenir quelques instants.
Ajouter enfin le bouillon.
Couvrir et laisser cuire à feu doux 20 à 25 minutes jusqu'à ce que les pommes de terre deviennent fondantes.
Servir aussitôt, avec un verre de Rioja, bien sûr!
Bon appétit!
Bonjour,
La photo de la devinette de samedi dernier représentait un détail de papier marbré.
Bravo à Laurence qui est la seule à avoir reconnu du papier marbré. Il ne s'agissait pas de papier turc ebru mais de papier marbré français comme on pouvait en faire au XVIIIe siècle.
Comme vous pouvez le voir sur la photo ci-dessus, ce papier marbré a été placé aux contreplats de la reliure et comme garde volante sur les premier et dernier feuillets volants du bloc texte.
En Occident, l'art de marbrer le papier est étroitement lié à l'art de relier les livres. Les premiers papiers marbrés pénètrent en Europe dans les bagages des voyageurs revenant d'Orient au XVIe siècle.
La marbrure est d'origine japonaise. Les Suminagashi, papiers décorés à l'aide d'encres déposées sur l'eau, sont mentionnés dès le IXe siècle. D'Asie, la marbrure passe en Turquie et les couleurs apparaissent. Les encres ne sont pas jetées dans l'eau claire mais sur une eau épaissie avec de la gomme adragante. Au XVIIe siècle, la marbrure commence à être employée en Italie, en France, puis en Allemagne et en Angleterre pour obtenir du papier qui ressemble au marbre, d'où le nom qu'on lui donne.
La technique de la marbrure est longtemps restée mystérieuse et est transmise oralement dans le plus grand secret jusqu'au XVIIIe siècle. On commence alors à trouver quelques descriptions techniques sur la marbrure, en particulier dans l'Encyclopédie de Diderot et d'Alembert.
Divers motifs sont créés au XVIIe siècle puis repris au XVIIIe : cailloutés, coquilles, feuilles de chêne... Les couleurs employées sont principalement le jaune, le bleu et le vert avec une dominante de rouge.
Le papier de la devinette correspond au motif coquille. Les coquilles sont des figures circulaires plus ou moins larges, dessinées à la pointe sur un fond caillouté. Utilisées dès 1630, elles se popularisent au XVIIIe siècle. Ce papier orne la reliure d'un livre de 1775.
Je me suis amusée à photographier divers papiers marbrés figurant dans quelques livres. Je vous en montre quelques images.
Le papier marbré de nos cartons à dessins est aussi du papier marbré ou plutôt du "faux marbré".
Le papier marbré est encore utilisé et fabriqué de nos jours. La technique est intéressante. Il faudra que je l'essaie un jour...
Merci à tous ceux qui ont participé à ce jeu.
A bientôt!
Devinette du samedi 22 novembre 2014 http://t.co/yr9K50emVA
November 22, 2014
Devinette du samedi 22 novembre 2014 - L'atelier des couleurs
Bonjour, Pouvez-vous me dire ce que cette photo représente? J'espère que vous serez nombreux à trouver la bonne réponse. Je vous donne rendez-vous lundi. Bon week-end!
Bonjour,
Pouvez-vous me dire ce que cette photo représente?
J'espère que vous serez nombreux à trouver la bonne réponse.
Je vous donne rendez-vous lundi.
Bon week-end!
Crackers au sésame, au pavot et à la nigelle
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Bonjour, L'autre jour, j'ai voulu faire des crackers pour accompagner toutes…
Bonjour,
L'autre jour, j'ai voulu faire des crackers pour accompagner toutes mes "tartinades". J'ai consulté plusieurs recettes mais aucune ne me convenait vraiment. Alors je les ai toutes mélangées et j'ai obtenu ces petits crackers délicieux, bien croquants mais pas durs, qui ont un goût agréable même quand on les mange seuls. Je vous en donne la recette.
Crackers au sésame, au pavot et à la nigelle
Pour une cinquantaine de crackers :
160 g de farine complète
1/2 cuillerée à café rase de sel
90 g de graines diverses (sésame doré, sésame noir, pavot, nigelle)
1 cuillerée à soupe bombée de miel
1 et 1/2 cuillerées à soupe d'huile d'olive
10 cl d'eau
1 œuf + eau
Dans un robot, mélanger la farine, le sel et les graines. Ajouter le miel et l'huile d'olive puis, petit à petit, l'eau. Pétrir jusqu'à ce que la pâte forme une boule qui se détache des bords du bol. Si nécessaire, ajouter un peu d'eau ou de farine si la pâte est trop collante.
Préchauffer le four à 180°.
Étendre la pâte sur un plan de travail fariné, le plus finement possible (elle s'étale très bien). Couper en rectangles (ou carrés ou triangles). Les déposer sur une plaque de cuisson recouverte de papier cuisson. A l'aide d'un pinceau, dorer chaque cracker à l'œuf battu avec un peu d'eau.
Baisser le four à 150° et enfourner pendant 15 minutes. Éteindre le four et laisser refroidir les crackers à l'intérieur du four. Les crackers seront ainsi plus croustillants.
Conserver dans une boîte en fer et déguster seuls ou avec des dips ou tartinades.
A bientôt!
Devinette du samedi 15 novembre 2014 - suite - Pierre Soulages
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Bonjour, Bravo à Stéfany qui, la première et très vite, a reconnu que la…
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