750 grammes
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22 novembre 2014 6 22 /11 /novembre /2014 07:54

22 novembre 2014 

 

 

 

Bonjour,

 

Pouvez-vous me dire ce que cette photo représente?

J'espère que vous serez nombreux à trouver la bonne réponse.

Je vous donne rendez-vous lundi.

 

Bon week-end!

 


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15 novembre 2014 6 15 /11 /novembre /2014 09:16

 

 

 

 

Devinette-du-samedi-15-novembre-2014.jpg

 

 

 

 

Bonjour,

 

Que représente cette photo? Saurez-vous le deviner?

Nous en reparlerons lundi.

 

Bon week-end!

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10 novembre 2014 1 10 /11 /novembre /2014 08:59

 

Ae-rome-tre-Baume--de-tail.jpg 

 

 

 

Bonjour,

 

Bravo à Hortense qui a trouvé la réponse exacte! Il s'agissait bien d'un aréomètre de Baumé.

La devinette n'était pas si facile mais vous êtes nombreux à avoir deviné à quoi servait cet instrument de mesure. Bravo et merci pour vos commentaires.

 

Comme l'a expliqué Hortense, l'aréomètre permet de déterminer la densité du liquide dans lequel on le plonge, selon le principe d'Archimède.

Cet aréomètre a été mis au point par Antoine Baumé (1728-1804), pharmacien et chimiste français. 

 

 

Antoine Baumé

 

 

Cet instrument se compose d'une tige cylindre creuse graduée en degrés Baumé prolongée par une ampoule flotteur lestée.

 

 

 

Ae-rome-tre-de-Baume-.jpg

 

 

Ae-rome-tre-de-Baume--graduation.jpg

 

Aéromètre de Baumé-ampoule flotteur lestée 

 

 

Plus le liquide est dense, moins l'aréomètre s'enfonce. Les chiffres qui sont à la limite de la surface indiquent la densité du liquide mesuré.

 

L'aréomètre Baumé, appelé aussi pèse-sirop, a été beaucoup utilisé, dans de nombreux domaines. 

Les œnologues et les vignerons l'utilisaient pour calculer le poids de sucre contenu dans le moût et évaluer ainsi le degré alcoolique du vin après fermentation.

En cuisine, on l'utilisait pour mesurer la concentration en sucre des sirops.

Il était aussi utilisé par les paludiers, comme le dit Hortense, pour analyser la saumure.

Officiellement, le degré Baumé n'est plus en usage en France (décret 61-501 du 3 mai 1961) mais il semblerait que l'échelle Baumé soit encore utilisée malgré ce décret. Les aréomètres Baumé sont interdits à la vente sauf pour usage décoratif. Heureusement, car j'aime beaucoup cet instrument. Merci à Jean de me l'avoir donné. 

 

 

A bientôt!

 

 


 


 

 

 

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8 novembre 2014 6 08 /11 /novembre /2014 09:33

Devinette 8 novembre 2014

 

 

 

Bonjour,

 

Qu'est-ce que c'est? Pouvez-vous me le dire?

 

A lundi.

Bon week-end!

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3 novembre 2014 1 03 /11 /novembre /2014 09:19

Le-chateau-de-Quillan-a-travers-la-toile-d-araignee.jpg

 

 

 

Bonjour,

 

Non, je ne vous ai pas tendu une toile d'araignée entre les arches d'un pont de Quillan... 

 

La semaine dernière, personne n'avait trouvé la bonne réponse. Cette semaine, vous l'avez tous trouvée. Ce qui ne vous a pas empêchés de penser que c'était trop simple et de chercher plus loin. Je m'en réjouis. Et je vous félicite tous.

 

Et j'en profite pour vous parler de l'endroit où a été prise cette photo. Il s'agit d'une toile d'araignée tendue sur la rambarde du pont Suzanne à Quillan.

 

 

 

Toile d'araignée avec vue sur l'Aude

 

 

Le pont Suzanne à Quillan 

 

 

 

Quillan est une petite ville de l'Aude, aux pieds des Pyrénées, mentionnée dès le Xe siècle. Elle doit son nom aux trois collines qui l'environnent, "les Trois quilles". Au XIIe siècle, la ville se développe. C'est une bastide entourée de murailles.

Autour de l'église Notre-Dame dont les murs ont été réalisés avec les galets de l'Aude, la vie s'organise dans un dédale de rues que l'on peut parcourir encore aujourd'hui. 

 

 

 

 

Rue à Quillan

 

 

 

Le château, bâti au XIIe et XIIIe siècles par les archevêques de Narbonne est le témoin de leur lutte avec les rois de France puis de la croisade des Albigeois.   

 

 

 

Le château de Quillan vu du pont

 

 

 

La ville souffre pendant les Guerres de religion puis reprend son essor grâce à sa situation à la croisée des chemins. A l'entrée du défilé de la Pierre Lys, en contrebas du plateau de Sault, elle est pendant des siècles une cité prospère. C'est la terre des radeliers, plus connus dans le pays sous le nom de carrassiers. Ces ouvriers charriaient les grumes coupées dans les forêts de la Haute-Vallée avant de les assembler en radeaux, les carrasses. Acheminées jusqu'à Trèbes, elles étaient ensuite chargées sur les péniches du canal du Midi. Cette activité florissante prend fin à l'arrivée du chemin de fer.

 

Première ville du département à être reliée à l'électricité, Quillan devient une importante cité chapelière au XXe siècle.

Jean Bourrel, propriétaire de la manufacture la plus importante, est aussi président de l'US Quillan, club de rugby à XV fondé en 1902. Il développe son club qui est finaliste du championnat de France en 1928 et devient champion de France en 1929.

Quillan est aussi la ville où a été organisé le premier Criterium de France en 1936 qui réunit tous les ans les meilleurs coureurs du Tour de France.

 

Après la seconde guerre mondiale, le chapeau se porte moins et l'industrie de la chapellerie décline. En 1952, Formica installe à Quillan sa seule usine en France, permettant ainsi à la ville de conserver sa tradition industrielle.


Aujourd'hui, l'usine est fermée et Quillan est une petite ville endormie qui vit surtout du tourisme vert. On y pratique les sports d'eaux vives, sur l'Aude. C'est le point de départ de nombreux sentiers de randonnées, de circuits VTT... et le siège de nombreux festivals.

Mais c'est aussi et surtout (pour moi) une étape sur le chemin des châteaux cathares. 

 

On est loin de la toile d'araignée...

 

 

A bientôt!

 

 

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1 novembre 2014 6 01 /11 /novembre /2014 09:41

Devinette-du-samedi-1er-novembre-2014.jpg

 

 

 

Bonjour,

 

Savez-vous ce que cette photo représente?

Je vous le dirai lundi.

 

Bon week-end!

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28 octobre 2014 2 28 /10 /octobre /2014 11:47

 

Detail-de-fleur-d-ipomee.jpg

 

 

 

Bonjour,

 

Plusieurs de mes abonnés m'ont reproché de ne pas avoir répondu à la devinette de samedi dernier. Or, la réponse est partie hier. Je remercie d'avance tous ceux qui me diront ce qu'il en est pour eux et je republie cette réponse aujourd'hui.

 

En espérant que tout le monde la recevra,

 

A bientôt!

 

 

 

Ipomea-indica-copie-1.jpg

 

 

 

Bonjour,

 

Merci à tous ceux qui ont participé à ce jeu. Malheureusement, personne n'a trouvé la bonne réponse. Il faut dire que la devinette était difficile. Seules Laurence et ron2cuir ont fourni un indice en écrivant que c'était un végétal. Je les félicite ainsi que tous les autres pour leur imagination.

 

Il s'agissait d'un morceau de fleur fanée d'Ipomea indica ou Ipomea leari appelé aussi liseron bleu, volubilis des jardins...

 

Cette ipomée est une plante vivace qui peut être cultivée en annuelle sous les climats froids. Elle appartient comme tous les liserons à la famille des Convolvulaceae. Ses fleurs, qui ne durent qu'une journée, sont bleues ou bleu violet suivant les climats et virent au violet pourpré au cours de la journée. Je vous en montre d'autres images.

 

 

 

Fleurs-d-ipomee-a-differents-stades.jpg

 

 

Ipomee-avec-bourdon.jpg

 

 

 

Les bourdons les apprécient particulièrement comme vous pouvez le voir sur la photo ci-dessus et sur les suivantes prises en gros plan.

 

 

 

 

Le-bourdon-dans-l-ipomee-2.jpg

 

 

Le-bourdon-dans-l-ipomee.jpg

 

 

 

Cette plante grimpante peut atteindre plusieurs mètres et devenir même envahissante. 

 

 

 

Massif-d-Ipomea-leari.jpg

 

 

 

Il existe de très nombreuses variétés d'ipomées ou de volubilis. Celle qui m'a le plus impressionnée est l'Ipomea alba, qui a de grandes fleurs blanches qui, contrairement aux autres ipomées, ne s'ouvrent pas le jour mais la nuit et qui ont un parfum extraordinaire.

 

 

 

Ipomea-alba.jpg

 

 

 

Pour en revenir au nom de volubilis, que l'on donne souvent aux ipomées bleus, il vient du nom de la ville romaine de Volubilis, située au nord du Maroc, où l'on peut voir beaucoup de ces plantes. Mais ce sont plutôt des Convolvulus mauritanicus. Leurs fleurs sont plus petites que celles de l'Ipomea indica et sont d'un bleu plus clair.

 

 

 

Convolvulus-mauritanicus.jpg

 

 

 

Une dernière image avant de vous quitter : celle du Convolvulus cneorum ou "liseron de Turquie" qui a les mêmes fleurs que le Convolvulus mauritanicus mais blanches. Son feuillage est gris argenté et duveteux.

 

 

 

 

Convolvulus-cneorum.jpg

 

 

 

 

 

A bientôt!

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27 octobre 2014 1 27 /10 /octobre /2014 11:10

Ipomea-indica-copie-1.jpg

 

 

 

Bonjour,

 

Merci à tous ceux qui ont participé à ce jeu. Malheureusement, personne n'a trouvé la bonne réponse. Il faut dire que la devinette était difficile. Seules Laurence et ron2cuir ont fourni un indice en écrivant que c'était un végétal. Je les félicite ainsi que tous les autres pour leur imagination.

 

Il s'agissait d'un morceau de fleur fanée d'Ipomea indica ou Ipomea leari appelé aussi liseron bleu, volubilis des jardins...

 

Cette ipomée est une plante vivace qui peut être cultivée en annuelle sous les climats froids. Elle appartient comme tous les liserons à la famille des Convolvulaceae. Ses fleurs, qui ne durent qu'une journée, sont bleues ou bleu violet suivant les climats et virent au violet pourpré au cours de la journée. Je vous en montre d'autres images.

 

 

 

Fleurs-d-ipomee-a-differents-stades.jpg

 

 

Ipomee-avec-bourdon.jpg

 

 

 

Les bourdons les apprécient particulièrement comme vous pouvez le voir sur la photo ci-dessus et sur les suivantes prises en gros plan.

 

 

 

 

Le-bourdon-dans-l-ipomee-2.jpg

 

 

Le-bourdon-dans-l-ipomee.jpg

 

 

 

Cette plante grimpante peut atteindre plusieurs mètres et devenir même envahissante. 

 

 

 

Massif-d-Ipomea-leari.jpg

 

 

 

Il existe de très nombreuses variétés d'ipomées ou de volubilis. Celle qui m'a le plus impressionnée est l'Ipomea alba, qui a de grandes fleurs blanches qui, contrairement aux autres ipomées, ne s'ouvrent pas le jour mais la nuit et qui ont un parfum extraordinaire.

 

 

 

Ipomea-alba.jpg

 

 

 

Pour en revenir au nom de volubilis, que l'on donne souvent aux ipomées bleus, il vient du nom de la ville romaine de Volubilis, située au nord du Maroc, où l'on peut voir beaucoup de ces plantes. Mais ce sont plutôt des Convolvulus mauritanicus. Leurs fleurs sont plus petites que celles de l'Ipomea indica et sont d'un bleu plus clair.

 

 

 

Convolvulus-mauritanicus.jpg

 

 

 

Une dernière image avant de vous quitter : celle du Convolvulus cneorum ou "liseron de Turquie" qui a les mêmes fleurs que le Convolvulus mauritanicus mais blanches. Son feuillage est gris argenté et duveteux.

 

 

 

 

Convolvulus-cneorum.jpg

 

 

 

 

A bientôt!

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25 octobre 2014 6 25 /10 /octobre /2014 07:54

 

 

Devinette du samedi 25 octobre 2014    

 

 

 

 

Bonjour,

 

Pouvez-vous me dire ce que cette photo représente?

 

 

A lundi pour la réponse.

Bon week-end!

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20 octobre 2014 1 20 /10 /octobre /2014 07:11

Thon-rouge-sur-le-port-de-Marseille.jpg

 

 

 

Bonjour,

 

Merci à tous ceux qui ont participé à ce jeu.  

 

Non, la photo ne représentait pas un oignon rouge...

 

 

 

Oignon-rouge.jpg

 

 

 

Ni une tranche de betterave, même crapaudine...

 

betterave-copie-1.jpg

 

 

Ni une coupe de bois exotique...    

 

 

 

Coupe-de-bois.jpg

 

 

 

Il s'agissait tout simplement d'un morceau de tranche de thon rouge. Mais non de thon albacore comme l'a dit Hortense car cette espèce de thon, appelée aussi thon jaune ou Thunnus albacares (c'est l'atun claro espagnol) est un poisson tropical, absent de la mer Méditerranée où a été pêché le thon de la photo (comme c'est écrit sur l'ardoise déposée à côté du thon sur la photo ci-dessus : "thon rouge pêché au large de Marseille"). Mais ça, vous ne pouviez le savoir. Bravo donc à Hortense qui a deviné que la photo représentait du thon.

 

Le thon rouge atlantique, ou Thunnus thynnus, Scombridae, est réparti sur l'ensemble de l'Atlantique Nord et de la Méditerranée et, dans une moindre mesure dans l'Atlantique sud. Il effectue d'importantes migrations entre les régions froides où il se nourrit et les régions plus chaudes où il se reproduit. A la différence des autres espèces de thons qui sont tropicales ou sub-tropicales, le thon rouge réalise l'essentiel de son cycle de vie en eaux tempérées.

 

La pêche au thon rouge est une pêche traditionnelle. L'essor du marché du sushi-sashimi au sein duquel le thon rouge est une espèce "phare" à haute valeur marchande a amené à une surexploitation de cette espèce dans les années 1990-2000. Depuis 1998, la Commission Internationale pour la Conservation des Thonidés de l'Atlantique (CICTA) impose un quota de pêche qui est peu ou pas respecté par nombre de pays jusqu'en 2007.

Suite à l'avis alarmiste du comité scientifique de la CICTA en 2006, la commission de la CICTA a adopté un plan de reconstitution du "stock Est" sur 15 ans. Ce plan, mis en place en 2007, contient de nombreuses mesures comme la limitation du nombre de navires autorisés à pêcher le thon, l'interdiction des filets dérivants et l'utilisation d'avions pour repérer les bancs de poissons. Les thons pêchés doivent mesurer au moins 115 cm ou peser plus de 30 kg. Des dérogations sont accordées pour la pêcherie artisanale côtière dans la limite du sous-quota des 8-30 kg. Le pêcheur doit remplir une fiche pour chaque thon rouge capturé, qui est également bagué. 

En 2014, un arrêté, paru au J.O. du 2 avril, répartit les 2471 tonnes allouées à la France. Les pêcheurs professionnels de la Méditerranée recevront 2199 tonnes, ceux de l'Atlantique 247 tonnes et les plaisanciers 25 tonnes.

 

La pêche au thon rouge se divise entre une pêche artisanale côtière en Méditerranée et en Atlantique et une pêche à la senne en Méditerranée destinée à l'exportation. 

Les thoniers-senneurs sont basés pricipalement à Sète et à Marseille. La période de pêche pour ces gros bateaux est limitée à un mois. Leurs captures sont mises en cage et acheminées jusqu'à des fermes où les thons sont engraissés et revendus ultérieurement, surtout pour les marchés asiatiques et particulièrement le Japon.

Les marchés locaux et nationaux sont alimentés par les "petits métiers" de la Méditerranée qui pêchent à la traîne, à la canne ou à la palangre (longue ligne de plusieurs kilomètres de long avec un hameçon tous les 25 mètres) et les pêcheurs au chalut de l'Atlantique. La période de pêche est limitée et les quotas limités cette année pour les petits métiers de la Méditerranée à 230 tonnes à répartir entre les 87 licences octroyées.

 

Cet ensemble de mesures semble porter ses fruits et l'on peut penser que le thon rouge aujourd'hui n'est plus surexploité. Il subit cependant encore les conséquences de la surexploitation passée.

 

Il est donc possible aujourd'hui de manger du thon rouge en France. Comme les autres thons, c'est un poisson riche en protéines et, plus que les autres thons, c'est un poisson gras qui contient beaucoup d'acides gras oméga 3. Il est riche en phosphore, en vitamines du groupe B, en sélénium, en vitamine A, D et contient aussi du magnésium et du fer. N'en abusez cependant pas car il contient des niveaux élevés de mercure. Pour cette raison, il est conseillé d'en limiter la consommation à une à deux portions par semaine et de la déconseiller aux femmes enceintes ou allaitantes et aux enfants.

 

Après ce long discours sur le thon rouge qui ne vous aura pas trop embêtés, je l'espère, quelques photos du Vieux Port de Marseille et du port de Cassis et des jolies "barquettes marseillaises" (celles que l'on appelle "pointus" dans le Var et les Alpes-Maritimes)...

 

 

 

 

Marseille.jpg

 

 

Sur-le-Vieux-Port-a-Marseille.jpg

 

 

Barques-a-Cassis.jpg

 

 

Sur-le-port-de-Cassis.jpg

 

 

 

 

A bientôt!

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  • La nutrition en couleurs
  • Médecin nutritionniste, passionnée par la lumière et les couleurs, j'aime faire partager à ceux qui m'entourent mes connaissances en cuisine et en nutrition pour qu'ils puissent concilier santé, plaisir et gourmandise.
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